Un défenseur des batay kok à cru bon servir sa cause dans le courrier des lecteurs du Journal de l’île il y a quelques jours…
A celui qui dans l’article du 19/07/2010 parle de combats de coqs en disant que c’est de la barbarie, de la cruauté, je réponds [...] que si vous considérez cela comme de la bêtise humaine, sachez qu’il y en a beaucoup. Vous en voulez une: le mariage des homosexuels (es) et en plus cette bêtise là est reconnue par la loi. Ça c’est la honte monsieur. [...]
Je préfère mon batay coqs en spectacle ou du muay thaï [...] qu’autre chose.
Pas sûr que cela serve sa cause !

Le Figaro -enfin- se plonge dans l’univers de la basse cour…
L’article confirme la fâcheuse expérience vécue avec Léon le coq de Jérôme, que nous avons accueilli quelques jours à la maison.
C’est l’une des « joies » de la vie à la campagne quand on habite près d’un poulailler : être réveillé dès les premières lueurs du jour par le puissant « cocorico » du coq.
Il possède un chapitre qui lui est dédié dans un manuel juridique sur les nuisances sonores destiné aux maires.
Il produit pratiquement le même nombre de décibels (dB) qu’à l’aube (entre 50 et 60 dB). Un peu moins qu’un camion qui passe (70 dB) ou qu’un aspirateur (entre 65 et 75 dB).
Le « cri » du coq [ressemble] à un ballon de baudruche dont on pince plus ou moins l’embout pour produire des sons.
Enfin ce que passe sous silence cet article c’est l’heure à laquelle le coq se donne à fond. Pour Léon c’était tous les matins à partir de de 4h00 du mat’ !
La totale sur lefigaro.fr